Introduction -- The nature of a complex world -- Unpacking complexity -- Have we thought like this before? -- The complexity of complexity theories -- Complexity and the social world -- Complexity and management -- Complexity and strategy -- Complexity and international development -- Complexity and economics -- Final reflections: what we hope you take away from this book.

Guidé par l’extension de l’usage et des acceptions du signifiant « ex », l’auteur, à partir d’une longue expérience clinique auprès des couples et des familles, met en correspondance des phénomènes psychiques peu conscients des individus, enfants ou parents, et des groupes familiaux qu’ils constituent, avec des transformations sociales ou sociétales modifiant les bases historiques des sentiments d’identité. L’ensemble souligne la fréquence de troubles narcissiques et notamment du sentiment de la constance et de la valeur de soi, essentiel à ce (...) qui fait, au-delà du désir, la dimension « conjugale » du choix amoureux et du choix de type de lien. L’évolution perceptible de la temporalité y joue un grand rôle, déplaçant les identifications vers une adolescence modélisée. S’agit-il d’un ébranlement passager du sentiment identitaire, du renouvellement d’une pluralité de modalités identitaires ou d’une évolution anthropologique? (shrink)

Résumé Citoyen allemand qui venait de vivre la deuxième guerre mondiale en Allemagne, Gerhard.A. Rauche émigre en Afrique du Sud dans les années 50 qui correspondent aux premières années de l’Apartheid. Spécialiste de Locke en philosophie et de Grisebach en littérature, il obtint deux doctorats dans ces disciplines. Critique de la philosophie analytique, de l’existentialisme et du Marxisme de l’Ecole de Francfort, il se pencha sur le problème la co-présence des communautés et de leurs relations. Il préconisa, en plein régime (...) d’Apartheid et en guise de critique, la non-absolutisation des positions identitaires pour que la vie authentique et les relations communautaires soient viables. De manière oblique et subtile, il lutta contre l’Apartheid. Sa critique philosophique qui demeure prisonnière des essentialismes et du racialisme, mériterait d’être complétée par une étude minutieuse des notions d’hospitalité et de mutualité. (shrink)

ACKNOWL K DGMENTS The editors wish to thank the following publishers for permission to use the following copyrighted material : British Journal of ...

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:BOOK REVIEWS 537 tion of his three dialogues, and of course there are several references to Hume's intern= parable Dialogues. The bibliographic essay is useful with respect to general works and period pieces but unfortunately does little to help those who are seeking further help in understanding an individual writer. Professor France's work is an invaluable guide nevertheless for those who realize that authors, even philosophers, do not write (...) in a cultural vacuum. NICHOLASCAPALDI Queens College, CUNY Die Auseinandersetzung yon ldealismus und Realismus in Fichtes Wissenscha/tslehre. By Ingeborg Schfissler. (Frankfurt am Main: Vittorio Klostermann, 1972. Pp. 182. DM 24.50) For Fichte scholars this closely argued and well organized study of the foundations of Fichte's Wissenscha/tslehre is simply a must. American philosophers generally, however, will not become Fichte enthusiasts after reading this book. But this is not the fault of the authoress, but of Fichte. The key question which Dr. SchiJssler raises is, What role does realism play in Fichte's transcendental idealism? With this question in mind she examines Fichte's "foundation of the entire theory of science" of 1794-1795 and related matters, and the "theory of science" of 1804, together with the lecture of 1813. As Fichte originally saw the task of philosophy it was to explain theoretical, i.e., scientific, consciousness in terms of its own foundation. In 1804, however, the task was conceived as presentation of absolute truth; and in 1813, Fichte tried to understand the theory of science as a theory of appearances. Dr. Schfissler's thesis is that all three approaches are necessary; that, in fact, the changes in Fichte's conception of what a theory of science is or ought to be are grounded in the nature of transcendental philosophy itself. The book is not something one reads for relaxation; its sustained and detailed arguments militate against that. But it is a highly illuminating study, and well worth the effort of careful analysis. W. H. WE~mSTBR Florida State University The Manifold in Perception. Theories of Art.from Kant to Hildebrand. By Michael Pedro. (Oxford: Clarendon Press, 1972. Oxford-Warburg Studies) This is a survey of theories of art of Kant, Schiller, Herbart, Hildebrand, Schopenhauer and Fiedler. One may question the value of a re-statement of this sort, over simply another reading of the works of the authors themselves. Pedro's answer may be found in the Preface and again in a more extended statement in the conclusion. "German aesthetic theory from Kant through to the end of the nineteenth century seemed to contain valuable critical ideas quite absent from contemporary philosophical writing." Pedro's attempt has been to "re-locate notions in current use, like 'aesthetic detachment', within the sustained systematic discourse of which they were once part. This seemed a way both of uncovering a number of assumptions which have been constraining writing on art for some time, and of clarifying a number of crucial insights of earlier theorists." The author's account is almost entirely expository, its negative critical questions being limited almost exclusively to Herbart. Yet even here, when the author indicates that Herbart's theory of mind "exhibits certain very basic logical difficulties," he adds that 538 HISTORY OF PHILOSOPHY "they are difficulties which have a particular importance in the discussion of art.... " Podro's clarification is largely made through the asking of questions which the authors themselves did not ask and then suggesting answers to these questions in the light of what the authors did say. The two chapters on Schiller form the core of the book. Schiller's theory of art and aesthetic education of man is placed as central to Podro's account of an aesthetic tradition beginning with Kant and ending with Fiedler. The "tradition" detailed in Podro's book is described as having two underlying assumptions. The first was that any account of art must indicate distinctive or at least characteristic uses of our perception, uses which if not exclusive to art are at least necessary to it, and which are seen in art in a particularly striking way. The second assumption was that art involves our attitudes, in the sense of our serious purposes as... (shrink)

Parole et sexualité sont à la fois modes d’expression et actes, avec des dimensions individuelles et plurielles. Leurs lointaines origines biopsychologiques les enracinent dans les fondements inconscients du psychisme humain, d’où elles émergent en constituant et le Moi individuel de la conscience humaine et la perception moins consciente d’une appartenance groupale, base narcissique d’un Nous, dont la résurgence est sensible au sein de tous les ensembles groupaux, familiaux, sociaux, et bien sûr dans la vie conjugale et sexuelle. Une thérapie approfondie (...) en couple impose à l’analyste cette compréhension psychanalytique double, individuelle et duelle, pour saisir l’intrication des deux dimensions dans tous leurs conflits, notamment à travers l’expression sexuelle. (shrink)

Les thérapies psychanalytiques auprès des couples apportent un bénéfice thérapeutique personnel à chacun des patients et, souvent, à leur lien douloureux ambivalent, comme en témoigne une méta-analyse comparative des approches thérapeutiques anciennes ou contemporaines. Une compréhension psychanalytique plus groupale s’impose aujourd’hui pour mieux saisir les problématiques identitaires mises en jeu par les processus inconscients qui structurent tout groupe humain, mais aussi la spécificité groupale transgénérationnelle des familles et des couples, laquelle donne à leur vie émotionnelle et affective une si grande (...) intensité. (shrink)

Quelle est la nature et la fonction des sentiments dans l’activité de connaissance et, plus largement, dans l’existence humaine? Cette question, massive, n’a cessé d’inquiéter la philosophie, dont l’histoire paraît à bien des égards se confondre avec celle d’une opposition entre la lucidité de la raison et l’obscurité dangereuse des passions. Si le discours philosophique n’a jamais nié l’importance des sentiments, ni leur rôle dans l’ordonnancement général de la vie humaine, ce discours est cependant empreint d’ambiguïtés, comme l’est, déjà, le (...) statut du « cœur » dans la tripartition fonctionnelle de l’âme présentée par Platon : ni réductible à la droite raison, ni relégué dans la sphère des désirs qui nous empêchent de contempler les Idées, le sentiment est cet intermédiaire allié de la raison qui met en mouvement nos réactions morales. Cette ambiguïté se retrouve à l’âge classique, lorsque le discours philosophique découvre le fonctionnement des passions et cherche les modèles scientifiques susceptibles d’en rendre compte, hésitant entre la physiologie , la géométrie , la médecine et les sciences de la nature .En faisant de l’affectivité l’une des structures fondamentales de l’existence, la phénoménologie a replacé au centre du questionnement philosophique la problématique des sentiments. Mais comment décrire ces expériences singulières – celle de l’amour, de l’angoisse, du désespoir ou de la joie – sans les confondre avec des objets? Comment donner du sens aux affects sans adopter ce point de vue surplombant des sciences de la nature, qui confond le discours des causes et celui des raisons? Comment, en d’autres termes, continuer à parler des sentiments de manière raisonnée, tout en reconnaissant que les sentiments nous font autant que nous les connaissons – tout en continuant, par conséquent, à être réceptifs à leur pouvoir de nous ébranler? (shrink)

Qu'est-ce que l'humain? ou comment deux savants assez philosophes et un philosophe assez savant reviennent sur la distinction classique entre nature et culture. Notre tradition culturelle posait une barrière quasiment étanche entre l'animal et l'humain. Nous savons aujourd'hui que nous partageons avec nos cousins les plus récents l'immense majorité de notre matériel génétique. Alors qu'est-ce qui spécifie l'humain? Trois réponses venues de trois disciplines : la neurobiologie, en un va et vient entre sciences cognitives et biologie du système nerveux, la (...) paléoanthropologie, à la charnière de la théorie de l'évolution et de la préhistoire, et la philosophie. (shrink)

There is a new Bayesian, or probabilistic, paradigm in the psychology of reasoning, with new psychological accounts of the indicative conditional of natural language. In psychological experiments in this new paradigm, people judge that the probability of the indicative conditional, P(if A then C), is the conditional probability of C given A, P(C | A). In other experiments, participants respond with what has been called the 'de- fective' truth table: they judge that if A then C is true when A (...) holds and C holds, is false when A holds and C does not, and is neither true nor false when A does not hold. We argue that these responses are not 'defective' in any negative sense, as many psychologists have implied. We point out that a number of normative researchers, including de Finetti, have proposed such a table for various coherent interpretations of the third value. We review the relevant general tables in the normative literature, in which there is a third value for A and C and the logically compound forms of the natural language conditional, negation, conjunction, disjunction, and the material conditional. We describe the results of an experiment on which of these tables best describes ordinary people's judgements when the third value is interpreted as indicating uncertainty. (shrink)

This book focuses on the degree to which certain moral and legal doctrines are rooted in specific passions that are then institutionalised in the form of criminal law. A philosophical analysis is developed of the following questions: when, if ever, should hatred be overcome by sympathy or compassion? What are forgiveness and mercy and to what degree do they require - both conceptually and morally - the overcoming of certain passions and the motivation by other passions? If forgiveness and mercy (...) indeed are moral virtues, what role, if any, should they play in the law? (shrink)